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Vous reprendrez bien un peu de « slow communication » ?

Nous l’avons vu dans un précédent article (voir « Et si l’entreprise cessait de communiquer ? »), les prospects et clients de l’entreprise sont, depuis le début de l’année, soumis à une communication souffrant d’embonpoint.

Dans cette marée d’informations, l’entreprise communique plus qu’elle ne diffuse d’informations pertinentes : elle perd souvent temps et argent au lieu de capitaliser sur les bons contacts.

Retrouver l’essence même de l’entreprise, son identité, pour communiquer, voilà la solution. Se poser et se recentrer sur son vrai métier et ses atouts : c’est ce qui intéresse les clients et peut convaincre les prospects. Exit la « junk communication », à l’image de la « junk food ».

La « slow communication »

Il s’agit de sortir de la communication rapide et quasiment pré-digérée. Prendre à nouveau son temps pour réfléchir et promouvoir de façon pertinente ses services et produits, s’extraire du flot continu de communication qui nous entoure pour s’attarder sur l’information à transmettre. Rechercher du sens, remettre l’humain et non son réseau social au centre du jeu, c’est susciter à nouveau l’intérêt de sa cible. C’est une excellente façon de développer sa visibilité (auprès des moteurs de recherche d’Internet aussi !).

Concrètement ? Je vous propose quelques pistes.

Informer et pas seulement communiquer

Cela peut paraître basique, mais l’idée est de transmettre une information seulement lorsqu’elle existe ! Elle doit dépendre de la stratégie mise en place. De plus, elle vise une cible et non un magma de destinataires.

C’est dans l’air du temps : recycler !

Ça n’est pas interdit : reprendre et actualiser une véritable information permet de communiquer sur un contenu pertinent, en réel rapport avec l’entreprise / ses services / ses produits. C’est aussi capitaliser sur l’existant et l’étayer.

La communication efficace

À trop vouloir communiquer, l’entreprise se perd dans des flots de mots. Il faut en réalité privilégier qualité à quantité, retrouver de l’impact avec moins de mots. Choisir des expressions qui marquent plutôt qu’une masse d’informations creuses justes produites pour montrer que l’on existe face aux concurrents.
Redevenir désirable plutôt qu’omniprésent.

Se reconcentrer et planifier

Quitter l’immédiateté permet d’en revenir à l’essentiel, retrouver la pertinence. C’est proposer une réelle valeur ajoutée et une expertise propres à l’entreprise, une singularité, ce qui fait que les clients l’ont choisie. Être « slow » n’est pas être paresseux, c’est être efficace.
Cela permet notamment de renouer avec une réelle planification éditoriale, de ne plus travailler dans l’urgence « comme on peut », mais sur la base de réelles informations.

S’intéresser à sa cible

Là aussi, cela paraît basique. En se recentrant sur sa cible réelle, l’entreprise s’adresse à l’humain et peut réinjecter de l’intelligence émotionnelle. Elle doit optimiser sa communication et ne pas simplement s’intéresser à une masse de réseaux sociaux pour faire croire qu’elle existe au « milieu » des autres.

 

En conclusion et pour aller plus loin

Rappeler les fondamentaux de la communication est toujours une bonne chose en période « d’hystérisation » de l’information. Se poser et faire le point, c’est déjà se singulariser de nombreux concurrents, et cela permet de se distinguer plus encore.

Point important : la slow communication n’est pas échapper aux si centraux moteurs de recherche d’Internet. Ils sont « intelligents », il « aiment » du contenu réel, différent, s’il est en adéquation avec l’existant : pas d’inquiétude à ce sujet puisque l’on en revient à l’essence même de l’entreprise. La cohérence est préservée. Et l’ADN de l’entreprise retrouvé.

 

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