Quand se profile un passage à la retraite dans son…

Mieux penser, c’est mieux décider : 4 pratiques pour y arriver
Et si votre plus gros frein, c’était… votre cerveau ?
Pas vos outils.
Pas vos process.
Pas votre équipe.
Juste… ce cerveau qui ne s’arrête jamais. Qui tourne en boucle, sans pause.
Et quand il sature, ce n’est pas seulement la fatigue qui s’installe. C’est la lucidité qui s’émousse.
Les pensées s’emballent, les priorités se mélangent.
Et vous voilà à 3h du matin, en train de refaire la réunion de mardi, scène par scène.
Ça vous parle ?
Le mental du manager est un outil puissant. Pourtant, mal utilisé, il devient un générateur de charge invisible.
Voici 4 micro-outils que j’ai vus faire leurs preuves, chez les managers de proximité comme chez les dirigeants :
1. Commencer la journée en vidant ce qui encombre
→ Exemple : “Je me réveille avec déjà 12 pensées en boucle : arbitrage budgétaire, organisation d’équipe, relance client…”
5 minutes sur papier : tout poser en vrac, sans organiser. Ensuite seulement, on priorise.
Le simple fait d’écrire soulage.
“Ce n’est pas parce que c’est dans votre tête que c’est prioritaire.”
2. La question : “Où est ma vraie valeur ajoutée aujourd’hui ?”
→ Exemple : “Je passe ma matinée à répondre à des mails internes, alors que je devrais finaliser la proposition pour le client Z.”
Posez-vous cette question chaque matin : “Quelle action nécessite vraiment mon énergie aujourd’hui ?”
Celle qui débloque une situation, sécurise une étape, ou fait avancer le plus important.
3. La pause de recentrage (2 minutes, montre en main)
→ Exemple : “J’ai enchaîné 4 calls, je dois décider sur un sujet important… et je n’arrive plus à réfléchir.”
S’arrêter. Respirer. Revenir au corps.
Pas “faire du bien-être”, juste se redonner une vraie qualité de présence.
4. Le “pas maintenant” assumé
→ Exemple : “Ce projet m’obsède… mais je ne peux pas le traiter cette semaine.”
Se dire : “J’y penserai vendredi à 10h”, et poser un rappel.
Libération mentale immédiate.
Penser, c’est agir juste. Trop penser, c’est s’user.
Dans le tumulte du quotidien, c’est souvent en réduisant le bruit intérieur… que l’on entend enfin ce qui compte vraiment.
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