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Le leader gagnant : le « leader humble » !

Être leader n’est pas chose aisée. Motiver ses troupes, assurer leur implication pour atteindre les objectifs fixés… font partie de son quotidien.

Or il doit prendre en compte les reportings, assurer les contrôles… : il finit souvent par se concentrer de manière excessive sur ses objectifs. Il peut alors se focaliser sur les buts sans s’attarder assez sur les moyens, et considérer ses équipes comme des fournisseurs de techniques pour parvenir à ses fins.

À observer sans cesse les défauts, les manques d’implication, les remontées négatives des clients ou les erreurs, le leader va stresser ses collaborateurs, générer la peur de l’échec, de mal faire, ou de perdre leur prime si les objectifs ne sont pas atteints. Autant d’écueils à ressentir des émotions positives, à tenter d’innover et à s’impliquer dans le travail.

 

Le « leader humble » : définition

Et c’est ainsi que le leader génère lui-même les raisons de ses échecs ou des difficultés à atteindre ses objectifs. Il doit alors changer de paradigme : au lieu de sermonner ses équipes et pointer ce qui ne va pas, il est bien plus constructif de leur proposer de travailler sur ce qu’il manque pour que tout aille mieux. Il doit accepter que les compétences de ses employés sont nécessaires à la bonne marche de l’entreprise et qu’il n’est pas omniscient. Il doit être un soutien.

Nous pouvons nommer un tel leader de « leader humble », au service de ses équipes. Ces dernières vont pouvoir innover, expérimenter et progresser dans une dynamique qui assure l’implication.

Le leader humble suscite le dialogue et prend en compte les suggestions ou les sollicitations de ses  collaborateurs. Il ne met pas l’accent sur son pouvoir formel.

 

Le « leader humble » : mode d’emploi

En collectant les signaux faibles, le leader humble va progressivement enrichir un cercle vertueux : si les collaborateurs se sentent écoutés, ils vont petit à petit s’exprimer plus librement et transmettre des idées et sentiments qui vont faire progresser l’équipe et la motiver. Le leader humble a conscience que c’est avec (et grâce à) ses subordonnés qu’il va réussir. Ceux-ci savent comment bien faire leur travail et n’ont pas besoin pour cela d’un mode de pensée où tout descend de la pyramide hiérarchique. Ce mode de pensée délétère est radical pour mal connaître ses employés et se priver de leurs réelles capacités.

Un bon moyen de mettre en application cette technique d’humilité du leader est de créer des moments d’échanges privilégiés. Des réunions informelles – par exemple des petits-déjeuners – en petits groupes, loin de la salle de réunion habituelle et des PowerPoint permettent, au fil du temps, d’encourager les plus rétifs à s’exprimer. C’est un cadre idéal pour « tâter le pouls » des collaborateurs, les inciter à transmettre leurs problèmes mais aussi leur ressenti, et à dénouer des petites frictions avant qu’elles ne se compliquent.
Et c’est gagné pour ce leader humble !

En conclusion et pour aller plus loin

Avec un rythme de travail toujours plus soutenu, le leader a tendance a négliger les compétences de ses subordonnés. En ayant l’humilité de prendre en compte l’avis de ceux-ci et en multipliant les échanges, il met toutes les chances de son côté pour construire un modèle pertinent et efficace à la poursuite de ses objectifs.

Cette démarche demande un travail sur soi pour le leader, qui doit être capable de changer de paradigme et se mettre au service de ses employés. Speciman peut l’aider à adopter une telle attitude. Contactez-nous !

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